Kittel : "Je n'irai jamais chez Astana. Jamais"
Depuis quelques semaines, et l'annonce du rapport de l'USADA, Marcel Kittel a souhaité élever la voix et faire entendre l'opinion de la nouvelle génération. En particulier en ce qui concerne les déclarations plus ou moins douteuses des uns et des autres. C'est surtout sur son compte Twitter que le jeune Allemand s'était jusque là exprimé. Jeudi, c'est auprès du Het Nieuwsblad qu'il s'est davantage confié, en expliquant qu'il souhaitait voir le cyclisme repartir sur de nouvelles bases. Et dans un cadre donc plus propre.
C'est pourquoi le sprinteur d'Argos-Shimano s'est offusqué de l'octroi d'une licence à Astana, dont le futur manager n'est autre que Vinokourov : "Nous avons besoin de nouveaux principes," a-t-il déclaré. "Je ne comprends pas quelle est la position éthique de l'Union Cycliste Internationale (UCI) quand elle décide, en fin de semaine dernière, de donner une licence World Tour à Astana, avec le Kazakh (cf Vino) en tant que manager. À l'heure actuelle il n'existe pas de règles précises. Il y a toutefois, par exemple, Jonathan Vaughters, qui je pense, lutte pour un sport propre."
A noter qu'une règle en vigueur depuis 2011 interdit tout coureur pris pour dopage, à partir de cette date, d'exercer des fonctions futures au sein d'une équipe, telles que directeur sportif, manager, conseiller, etc ... Mais cette règle n'est pas rétroactive. Kittel poursuit : "Des solutions doivent être trouvées, mais on n'en est pas encore là. A titre d'exemple, il y a le manifeste de plusieurs grands journaux ... Je trouve que c'est une bonne initiative."
Par ailleurs, Kittel apporte beaucoup d'importance à l'image de l'équipe pour laquelle il court. Et c'est l'une des raisons pour lesquelles il ne signerait probablement jamais chez Astana, formation trop douteuse : "Je n'irai jamais là-bas. Jamais. L'argent ne fait pas tout. J'ai besoin de me sentir bien dans une équipe. J'ai déjà entendu des rumeurs sur Astana, sur le type d'équipe que c'était. Les Kazakhs, même ceux qui ne sont pas coureurs, ont tout simplement une mentalité différente."
Avec toutes ses déclarations, il n'a pas peur de se faire des ennemis le jeune teuton.
Depuis quelques semaines, et l'annonce du rapport de l'USADA, Marcel Kittel a souhaité élever la voix et faire entendre l'opinion de la nouvelle génération. En particulier en ce qui concerne les déclarations plus ou moins douteuses des uns et des autres. C'est surtout sur son compte Twitter que le jeune Allemand s'était jusque là exprimé. Jeudi, c'est auprès du Het Nieuwsblad qu'il s'est davantage confié, en expliquant qu'il souhaitait voir le cyclisme repartir sur de nouvelles bases. Et dans un cadre donc plus propre.
C'est pourquoi le sprinteur d'Argos-Shimano s'est offusqué de l'octroi d'une licence à Astana, dont le futur manager n'est autre que Vinokourov : "Nous avons besoin de nouveaux principes," a-t-il déclaré. "Je ne comprends pas quelle est la position éthique de l'Union Cycliste Internationale (UCI) quand elle décide, en fin de semaine dernière, de donner une licence World Tour à Astana, avec le Kazakh (cf Vino) en tant que manager. À l'heure actuelle il n'existe pas de règles précises. Il y a toutefois, par exemple, Jonathan Vaughters, qui je pense, lutte pour un sport propre."
A noter qu'une règle en vigueur depuis 2011 interdit tout coureur pris pour dopage, à partir de cette date, d'exercer des fonctions futures au sein d'une équipe, telles que directeur sportif, manager, conseiller, etc ... Mais cette règle n'est pas rétroactive. Kittel poursuit : "Des solutions doivent être trouvées, mais on n'en est pas encore là. A titre d'exemple, il y a le manifeste de plusieurs grands journaux ... Je trouve que c'est une bonne initiative."
Par ailleurs, Kittel apporte beaucoup d'importance à l'image de l'équipe pour laquelle il court. Et c'est l'une des raisons pour lesquelles il ne signerait probablement jamais chez Astana, formation trop douteuse : "Je n'irai jamais là-bas. Jamais. L'argent ne fait pas tout. J'ai besoin de me sentir bien dans une équipe. J'ai déjà entendu des rumeurs sur Astana, sur le type d'équipe que c'était. Les Kazakhs, même ceux qui ne sont pas coureurs, ont tout simplement une mentalité différente."
Avec toutes ses déclarations, il n'a pas peur de se faire des ennemis le jeune teuton.